NOTES
Nous n'avons pas trouvé de texte formulant directement cette règle; elle n'est pas mentionnée par l'ouvrage de Chamberlayne, L'Etat présent de l'Angleterre (Amsterdam, 1788) dont Hugo se servira abondamment pour L'Homme qui rit, mais les précisions qu'il donne sur les titres du duc de Cornouailles, plus tard également prince de Galles, expliquent cette tradition. Il existe en revanche plusieurs textes, anciens ou récents, indiquant que tel prince de Galles est allé sièger à la chambre des lords en sa qualité de duc de Cornouailles. Il est vraisemblable que Hugo a été informé de cet usage par la presse, particulièrement attentive aux faits et gestes du prince de Galles à l'occasion de son mariage, longuement évcoqué en III, 1, 2 -voir la note à « la joie est inexprimable ».